Se protéger est devenu vital
La pollution électromagnétique est de plus en plus significative surtout avec l’arrivée de la 5G dans un monde déjà saturé de rayonnements (2G, 3G, 4G, Wi-Fi, Bluetooth, compteurs Linky…). Depuis 1950, le niveau d’exposition a été multiplié par 1 milliard et le nombre de bandes de fréquences est passé de 130 000 à 2,3 millions depuis 1997.
Les ondes induisent des charges électriques dans les 60.000 milliards de cellules. Cela perturbe l’expression des gènes (ADN), les processus biochimiques et donc le système nerveux, musculaire, hormonal, immunitaire et vasculaire. Elles augmentent le stress oxydatif et les radicaux libres, responsables du vieillissement prématuré, limitent la production de mélatonine et réduisent l’apport d’oxygène, ainsi que la formation de l’ATP.
RÉVÉLATIONS EXCLUSIVES NRGY UP (2024) – Les ondes de basses fréquences 5G s’infiltrent profondément dans notre corps. Elles interagissent avec les métaux lourds présents dans notre organisme, à l’instar d’une antenne qui capte des signaux. Ainsi, elles influencent le microbiote intestinal et modifient le comportement des vers et parasites (extracellulaires et intracellulaires). Les 10 000 milliards de bactéries qui cohabitent en nous et dans les parasites sont aussi affectées. Ils peuvent se multiplier, par instinct de survie, en cas de troubles excessifs.
Dans ce contexte “toxique”, où les règles et les normes sont fréquemment ignorées, il est important de comprendre qu’en luttant continuellement contre les ondes artificielles et leurs nombreuses fréquences, notre organisme s’épuise et ne peut jamais fonctionner de manière naturelle et optimale à 100 %.
- Depuis 2003, les assurances ne couvrent plus les risques et les dommages causés par les champs électromagnétiques.
- En 2011, le parlement Européen a préconisé un niveau d'exposition aux ondes à 0,2 V/m en intérieur. Les états n'adoptent pas ces recommandations. 0,2 V/m équivaut à une antenne se trouvant, au minimum, à 1.3 km. de l'habitation ou l'école. En France, le Wi-Fi est autorisé jusqu'à 61 V/m.
- En 2015, la loi Abeille a été adopté en France pour interdire le Wi-Fi dans les crèches afin de protéger les jeunes enfants. (La barrière hémato-encéphalique s'ouvre sous l'effet des émissions électromagnétiques).
- En 2015, 273 scientifiques et médecins de 41 pays ont fait appel aux Nations Unies, à l'ONU et à l'OMS pour adopter des directives plus protectrices contre les champs électromagnétiques.
La pollution électromagnétique est une source d’inquiétude de plus en plus significative surtout avec l’arrivée de la 5G dans un monde déjà saturé de rayonnements (2G, 3G, 4G, Wi-Fi, Bluetooth, compteurs Linky, lignes électriques, télévision…). Depuis 1950, le niveau d’exposition a été multiplié par 1 milliard et le nombre de bandes de fréquences est passé de 130 000 à 2,3 millions depuis 1997.
Dans ce contexte “toxique”, où les règles et les normes sont fréquemment ignorées, il est important de comprendre qu’en luttant continuellement contre les ondes artificielles et leurs nombreuses fréquences, notre organisme s’épuise et ne peut jamais fonctionner de manière naturelle et optimale à 100 %.
Le corps humain contient 70 à 75 % d'eau et les cellules utilisent l’électricité et le magnétisme pour assurer son équilibre. Une partie de l’énergie des ondes est absorbée par le corps (principe du four micro-ondes) qui est composé d'environ 60.000 milliards de cellules. Cette exposition continue aux ondes à haute fréquence pulsées provoque de l'irradiation.
Les ondes induisent des charges électriques dans les cellules qui perturbent l'expression des gènes (ADN), les processus biochimiques et donc le système nerveux, musculaire, hormonal, immunitaire et vasculaire. Elles augmentent le stress oxydatif et les radicaux libres, responsables du vieillissement prématuré, limitent la production de mélatonine et réduisent l'apport d'oxygène ainsi que la formation de l'ATP.
Révélations exclusives NRGY UP - Les ondes de basses fréquences 5G s'infiltrent profondément dans notre corps. Elles interagissent avec les métaux lourds présents dans notre organisme, à l'instar d'une antenne qui capte des signaux. Ainsi, elles influencent le microbiote intestinal et modifient le comportement des parasites (extracellulaires et intracellulaires). Les 10 000 milliards de bactéries qui cohabitent en nous et dans les parasites sont aussi affectées. Ils peuvent se multiplier, par instinct de survie, en cas de troubles excessifs.
Impacts et dangers
“Nous sommes les cobayes de la plus vaste et la plus néfaste des expérimentations”
(Neurochirurgien suédois Leif Salford, spécialiste des tumeurs cérébrales)
Impacts et dangers
“Nous sommes les cobayes de la plus vaste et la plus néfaste des expérimentations”
(Neurochirurgien suédois Leif Salford, spécialiste des tumeurs cérébrales)






















